Il l’a connue très jeune, il était en dernière année et elle en première. Leur idylle romantique ressemblait à un conte de fées, elle s’accrochait à lui, même s’il était mauvais garçon. Il était le Don Juan du bahut, mais c’était un garçon beau et élégant. Elle par contre, était une fille gentille et mignonne, mais, aussi innocente soit-elle, elle acceptait ses avances.
Ils sortaient ensemble 3 mois avant qu’elle ne soit prête à passer à l’acte, c’était chez lui,. Il était prêt et préparé pour l’occasion, elle non !
Le fait est qu’elle ne savait pas ce qui l’attendait. Ils ont regardé un film puis il a commencé à la caresser, elle a gémi doucement pendant qu’il suçait ses petits seins et a commencé à caresser son corps jusqu’à ce qu’il atteigne le bas. Au moment du premier doigté, rien ne se passe comme prévu!
-Ça fait mal, dit-il, enlève ton doigt de là, je n’aime pas ça, laisse-moi me toucher toute seule. Si tu me serrais dans tes bras pendant que je le fais moi-même, je n’aurais pas peur.
-Oublie ça, lui dit-il puisque tu ne sais pas quoi faire, ne t’inquiète pas, une fois à l’intérieur, ça ne te fera plus mal.
Elle a accepté, mais la douleur a persisté, elle a crié à pleins poumons, mais il n’était pas de cet avis, après l’avoir saigné, il l’a pénétrée avec sa bite déjà dressée. Il se mouvait d’avant en arrière, mais elle continuait de crier de douleur et lui, ne voulait pas s’arrêter.
-Pourquoi ça fait si mal, disait-elle ?
-Puisque tu ne mouilles pas assez bien, lui-dit-il d’un ton rassurant.
Mais pour l’instant il n’y a rien qui a changé car elle souffre constamment et la solution qu’il a trouvé a été d’éjaculer le plus vite et le plus brutalement possible. Quand il était en train de jouir en elle, il poussa sa bite encore plus profondément jusqu’à ce qu’il pénètre au fin fons dans son trou et là, il répandit sa semence.
Ce n’était pas un souvenir très agréable pour elle et désormais elle était plus qu’une fille confuse qui n’avait plus aucun goût pour le sexe. Pour elle, baiser équivalait à avoir toujours mal et qu’à chaque fois qu’ils baisaient pendant plus de 4 ans, ça lui faisait toujours mal à mesure que sa bite se dressait encore plus.
La discussion commença alors à prendre une tournure,
-Pourquoi dit-elle est-que je souffre encore après plusieurs années à coucher avec toi et même que t’es le seul gars qui m’a baisé depuis ?
-C’est parce que t’as peur et que tu sollicites à outrance tous les muscles du bas de ton corps, lui-dit-il !
-Alors, que devrions-nous faire ?
-Alors tu dois accepter que je touche ton vagin
Elle ne voulait plus se faire doigter depuis plusieurs années maintenant parce qu’elle pensait que c’était ce qui lui faisait mal.
Mais elle ne voulait plus souffrir et elle le laissa faire. Au lieu de procéder progressivement, il a immédiatement inséré deux doigts sans hésitation.
Elle souffrait, mais elle surmontait ses peurs et prenait plaisir à la douleur. Un début pour devenir une fille masochiste. Et c’est alors qu’elle a réalisé qu’elle devait être maltraitée pour être bien. Alors pour lui, la seule solution est l’insertion de 3 doigts, puis 4, puis 5. Après 4 ans à baiser, c’est la première fois qu’elle sent qu’elle prend du plaisir à supporter la douleur du fisting. Elle est devenue fan et au fil des années, c’est devenu un nouveau jeu pour eux.